"Les maîtres d’école sont des jardiniers en intelligences humaines", V Hugo
L'histoire ligérienne est fort riche
mais malheureusement peu connue
CHRONIQUE AU VAL
Ligericus sum,
nil Ligeris a me alienum puto.
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18 avril 2018
De délicieux souvenirs d'une Loire des années cinquante
avec Robert et Madeleine
"Au Peuplier"
par C Nabum
Robert et Madeleine tinrent durant plus de trente ans ce café installé sur la rive Sud entre le Pont Royal et le Pont de Vierzon. Leur établissement portait le nom du vénérable Peuplier qui avait été planté durant le règne de Louis XV en 1749 et qui fut abattu en 1953, alors qu’un orage l’avait mis à mal. Nos deux amis connurent les pêcheurs, les gars qui travaillaient à la sablière et au béton, les braconniers, les tireux de jars et les passeurs ; tout ce petit peuple de la rivière qui buvait quotidiennement leur quatre à cinq litres de vin rouge pour le moins.
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10 avril 2018
"Au Peuplier"
par C Nabum
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29 décembre 2017
Le commerce du XV ° et XVI ° siècles
Turner
Les Pancartes des péages non seulement précises les denrées qui sont sujettes à taxation mais nous informent dans le même temps de ce qui était transporté à l’époque sur la Loire et les rivières allant à icelle.
Vidéo, 13mn 30s
22 août 1958
Ajoutée, le
22 novembre 2017
Dans ce reportage sur le travail des mariniers, le voyage sur la Seine d'un convoi de huit péniches de Rouen à Paris. Les péniches sont amarrées les unes aux autres à 80 mètres d'intervalle, ainsi le convoi s'étend sur plus de 800 mètres de long.
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17 novembre 2017
Les péages - 1 -
Péage de Chantoceaux © c'est nabum
1725
Roanne, Loire
> Versailles, Yvelines
Un colis peu recommandable.
En cette année 1725, qui voulait voyager l'esprit tranquille dans un confort acceptable prenait les voies navigables. Il y avait sur notre Loire grand trafic de coches d'eau qui proposaient leurs services pour des passagers fortunés, quand des embarcations au confort plus sommaire satisfaisaient aux besoins du commun. Des toues cabanées faisaient souvent le voyage au gré des fluctuations de notre rivière.
Un noble seigneur de Roanne : Le Duc Louis d'Aubusson de La Feuillade avait le projet de se rendre à Versailles présenter ses hommages à notre bon roi. L'homme détestait les poussières de la route. Il décréta de suivre le cours de la rivière jusqu'à Combleux pour terminer son voyage par le canal d'Orléans. Il avait quelques visites de courtoisie à faire en chemin. ce qui l'avait décidé à emprunter ce chemin des écoliers et des mariniers moins pressés.
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Publié le
1 janvier 2017
Cette source d’eau minérale découverte par l’âne de la mère Victoire, réputée pour ses qualités cicatrisantes et résolutives, qui se trouvait à la limite entre Saint-Priest et Cordelle près du ruisseau La Poussette a été analysée pour la première fois par le docteur Jean-Baptiste Arthaud de Viry, médecin Roannais en 1839.
Les bâtiments ont été rasés en 1982. Photo DR
L’eau de la source jaillissait, par pulsion, d’une température constante de 9° centigrade avec un débit régulier (même par les plus grandes sécheresses) de 10 000 litres/jour. C’est en 1865 que la société Grange jeune & Cie, propriétaire, fit réaliser un captage et eut l’autorisation d’exploiter. En 1880, un établissement de bain avec trois baignoires dans les cabines en sapin (150 baigneurs par an) s’installa. Avec la guerre de 1914, l’établissement s’arrêta. En 1922, après l’incendie des bâtiments, une guinguette est installée, très appréciée. Entre les deux guerres, l’exploitation de la source reprit et se développa en 1941 avec la création de la Société des eaux minérales de Saint-Priest-la-Roche et connut ses heures de gloire jusqu’en 1975 lors de sa fermeture définitive. Au printemps 1982, les bâtiments furent rasés en prévision du barrage de Villerest.