Pierre
Bonte
Parution
16 mars 2017
Au fil de ses souvenirs, notamment de sa carrière télévisuelle et radiophonique, et des rencontres chaleureuses avec les «ruraux» qu’il défend, Pierre Bonte se raconte avec malice et tendresse.
Depuis 55 ans Pierre Bonte parcourt la France des villages et se fait le porte-parole d’une catégorie de Français qui a rarement accès aux médias : les « ruraux ». Ils ne représentent plus aujourd’hui que 20 % de la population. Pourtant ils occupent et et entretiennent 80 % de notre territoire. Ils incarnent un mode de vie qui fait rêver de plus en plus de citadins et ont besoin d’être soutenus pour garder nos campagnes vivantes et accueillantes.
Livre papier :
978-2-36890-516-6
18,50 €
140x205 mm
240 p.
Livre numérique :
978-2-36890-517-3
8,99 €
Ajouté
Octobre 2016
Le musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne a présenté au public une exposition consacrée au vélocipède, ancêtre de la bicyclette, accompagnée de ce catalogue.
L’invention du vélocipède est vraisemblablement née de l’ingéniosité du Français Pierre Michaux qui, vers 1861, a l’idée d’adapter des pédales à la roue avant d’une draisienne. Au cours des années 1860, cette nouvelle machine remporte un succès grandissant et nombre de constructeurs français entreprennent d’en fabriquer. Dès le milieu des années 1860, cette invention française se diffuse en Europe et en Amérique du Nord. Dans un premiers temps, des vélocipèdes français sont exportés, puis une production plus ou moins importante se met en place dans différents pays. Plus qu’une simple innovation technologique, ce sont à la fois une idée nouvelle et un réel enthousiasme qui se diffusent. Si un tel succès est possible, c’est qu’il existe, déjà à cette époque, un « terreau » favorable, une culture commune. La diffusion du vélocipède prépare les esprits à accueillir la bicyclette, quelques années plus tard.
Le catalogue d’exposition propose une sélection des plus beaux vélocipèdes français et étrangers, révélant des aspects inédits liés à la diffusion de ce moyen de locomotion en vogue dans les années 1860.
11 octobre 2016
La Fayette et La Touche-Tréville, deux hommes et une frégate au service de l’Indépendance américaine. Étude et documents historique de 1764 à 1793.
Si l’Hermione est bien le navire qui annonce aux «Patriots» des États-Unis d’Amérique en lutte contre l’Angleterre, l’arrivée de la flotte française et des troupes commandées par Rochambeau, elle est également le symbole de la renaissance de la marine de guerre française. Après avoir triomphalement débarqué le Marquis de La Fayette à Boston, la frégate est le premier navire français à recevoir à son bord le Congrès des États-Unis. Elle s’illustre ensuite, pendant près de 18 mois, au service de la cause américaine. Par ses combats contre la Royal Navy, devant New York et devant Louisbourg avec la Pérouse, le commandant Latouche-Tréville le talent des marins français de la guerre d’Indépendance qui l’amènera à être un des meilleurs des amiraux de Napoléon 1er.
Patrick Villiers,
professeur des Universités en histoire maritime, 5 fois lauréats de l’Académie de Marine
et Jean-Claude Lemineur,
archéologue naval bien connu
nous offrent ici de croiser les destinées de deux héros de la guerre d’Amérique et d’une belle frégate représentative de la lutte victorieuse pour le contrôle de l’Atlantique indispensable à l’indépendance des Etats-Unis.
HERHF
isbn 978-2-903179-85-4
BIOGRAPHIE
Une image différente du marin Olivier de Kersauson à mille lieues de celle médiatique de l'amiral.
Une biographie de celui qui reste l'un des plus grands navigateurs de sa générations. Une évocation ,toute en contraste et en paradoxes ,qui nous parle encore, en creux du rapport humain à l'océan ,tour à tour de découverte, de solitude ,et de retour vers soi.
des champs de batailles aux Droits de l'Homme
de
Guy BLANCHARD & Christian CHASSAGNE
Automne 2015
Aux côtés de Lafayette apportant son aide aux "Insurgents" américains figurait
Just de Rostaing, marquis de Veauchette (1740-1826).
Ce royaliste serviteur du Roi Louis XVI comme mousquetaire. Imprégné des idées du siècle des lumières, Franc-maçon combat pour la liberté aux ÉTATS UNIS. Marquis, député du Tiers-État en 1789, il siège aux États Généraux et à l'Assemblée Constituante à Paris.Déçu par l'évolution de la Révolution, il se consacre à la gestion de ses domaines et à la commune de Veauchette dont il est maire. président du Conseil général, il poursuit son rôle social.
Il s'intéresse à l'agriculture, à l'industrie et à l'aménagement du Fleuve Loire.
"Au moment où la liberté individuelle n'a jamais été autant revendiquée, peut-être parcequ'elle n'a jamais été autant menacée, il est opportun d'évoquer la personnalité étonnante de ce Forézien trop peu connu.
Il appartient à cette race des hommes courageux qui ont mis et mettent encore aujourd'hui leur vie au service des valeurs défendues par tous les pays civilisés".
Henri NOCHEZ
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